Contrairement aux centres de ressources de diverses régions, disposant de ressources humaines importantes, la Plate-forme 21 a été pensée dès sa conception comme une structure de petite dimension, s’appuyant sur les centres de ressources existants. C’est pourquoi le nom de plate-forme lui a été donné.

Elle est animée par un chef de projet à plein temps.

Les moyens financiers de la Plate-forme 21 reposent avant tout sur les cotisations de ses adhérents et sur des subventions publiques.
Les statuts précisent que ses prestations payantes resteront limitées, par respect du principe de subsidiarité envers ses membres et partenaires.

Ainsi, l’association n’a pas pour ambition de réunir en interne des compétences pour couvrir tous les champs du développement durable, ce qui serait illusoire. Dans les faits, elle renvoie vers les acteurs locaux compétents, ou fait appel à leurs services, en les valorisant en tant que tels dans le cadre de partenariats.
La Plate-forme 21 agit ainsi dans les limites des compétences qui lui sont conférées et des objectifs qui lui sont assignées.
Dans les domaines qui ne relèvent pas de sa compétence exclusive, elle n’intervient que si aucune structure existante ne peut apporter de réponse suffisante aux objectifs visés.
Ce choix de gouvernance traduit la volonté de l’association, d’asseoir son action sur des projets partagés.